Safari photos au Mercato
Safaris photos ...
En piste pour un safari photos au Mercato, espace de vie incroyablement agité ; ce jour-là, je m'ennuyais un peu, cette semaine-là, je m'ennuyais beaucoup ! C'était fin juin ...
Armée de mon gros appareil photo, j'ose une énième approche de cet extravagant marché.
Il ne pleut pas, c'est une chance, mais les rues pavées sont particulièrement glissantes, alors que les sols boueux ne facilitent pas non plus ma promenade pédestre. Avec mon chauffeur et guide, j'erre tranquillement, à la recherche de clichés insolites, lumineux, évocateurs. Je décide de sortir des chantiers battus et je change de parcours pour découvrir un autre quartier de ce marché labyrinthique.
Je rencontre le réparateur de parapluies, j'entrevois l'atelier de re-conditionnement des bidons d'huiles (entre autres), je traverse le quartier des menuisiers, je m'arrête à un magasin de pompes funèbres où l'on me fait une démonstration de fabrication artisanale des cercueils, et je découvre, ahurie, les ateliers de transformation du piment ("burberry") où les femmes égrainent et nettoient les grosses cosses de piment rouge (en extérieur) avant qu'un autre groupe de femmes ne les réduisent en poudre (à l'intérieur - les murs et les sols sont emprunts de piment, murs, sols, même l'air est rouge !), etc. ... Dans le quartier des musulmans, les ruelles sont rouge couleur piment ; les hommes se nettoient les mains, accroupis, sales, poussiéreux de piment. Le quartier sent le piment. Les ébénistes travaillent juste en face. Encore plus haut, de petites quincailleries vendent des matériaux de peinture ou des articles en plastique.
Je rentre par le quartier aux chaussures (chinoises) : ni chères ni solides ; il y en a partout, des milliers, c'est vertigineux ! Un petit tour au magasin d'antiquités (il faut en profiter !) puis je sors du Mercato.
Peu de photos en réalité, mais je continue ma visite par une recherche de maisons anciennes à photographier. Ce qui promet de longues et interminables promenades, car il en reste encore pas mal, notamment dans le quartier de Piassa.
Armée de mon gros appareil photo, j'ose une énième approche de cet extravagant marché.
Il ne pleut pas, c'est une chance, mais les rues pavées sont particulièrement glissantes, alors que les sols boueux ne facilitent pas non plus ma promenade pédestre. Avec mon chauffeur et guide, j'erre tranquillement, à la recherche de clichés insolites, lumineux, évocateurs. Je décide de sortir des chantiers battus et je change de parcours pour découvrir un autre quartier de ce marché labyrinthique.
Je rencontre le réparateur de parapluies, j'entrevois l'atelier de re-conditionnement des bidons d'huiles (entre autres), je traverse le quartier des menuisiers, je m'arrête à un magasin de pompes funèbres où l'on me fait une démonstration de fabrication artisanale des cercueils, et je découvre, ahurie, les ateliers de transformation du piment ("burberry") où les femmes égrainent et nettoient les grosses cosses de piment rouge (en extérieur) avant qu'un autre groupe de femmes ne les réduisent en poudre (à l'intérieur - les murs et les sols sont emprunts de piment, murs, sols, même l'air est rouge !), etc. ... Dans le quartier des musulmans, les ruelles sont rouge couleur piment ; les hommes se nettoient les mains, accroupis, sales, poussiéreux de piment. Le quartier sent le piment. Les ébénistes travaillent juste en face. Encore plus haut, de petites quincailleries vendent des matériaux de peinture ou des articles en plastique.
Je rentre par le quartier aux chaussures (chinoises) : ni chères ni solides ; il y en a partout, des milliers, c'est vertigineux ! Un petit tour au magasin d'antiquités (il faut en profiter !) puis je sors du Mercato.
Peu de photos en réalité, mais je continue ma visite par une recherche de maisons anciennes à photographier. Ce qui promet de longues et interminables promenades, car il en reste encore pas mal, notamment dans le quartier de Piassa.
Nathalie GUIRONNET
05 juillet 2009
05 juillet 2009
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